Se vivre comme déchêt (peut importe sa déclinaison : fantôme, salope, pute, objet) ne peut et ne sera jamais le socle d’un désir de libération. Ce sentiment n’est que le résultat d’une socialisation ultra violente, basée sur la menace de mort qui a pour sens quotidien la menace de viol.

Ce contenu a été publié dans
crime contre l'humanité,
féminisme,
industries,
masculinité,
mensonges pro-sexe,
viol, avec comme mot(s)-clé(s)
consentement,
conspiration des oreilles bouchées,
crime contre l'humanité,
discours de haine,
liberté sexuelle,
masculinité,
silence de mortes,
stratégie de l'agresseur,
viol. Vous pouvez le mettre en favoris avec
ce permalien.
Ping : Actus féministes d’août : Pussy riots, harcèlement sexuel, Tunisie, stop Porn « A dire d'elles